Après avoir joué au football professionnel pendant plus d'une décennie, l'ex-joueur de ligne défensive s'est donné une nouvelle mission : sortir les personnes handicapées de leur isolement. Incursion dans l'univers d'un gentil géant.

Grâce au soutien de sa communauté, Kenikuen, un jeune innu de la communauté de Uashat, a finalement réussi à patiner malgré son problème aux pieds. Tout un cadeau de Noël pour son père, un passionné de hockey.

Depuis l'âge de 8 ans, Diane Bibaud sait ce qu'elle veut faire dans la vie : jouer de l'orgue pour le Canadien de Montréal. C'est pourquoi elle s'est rendue au bureau de Serge Savard dès qu'elle a appris que le club cherchait un nouvel organiste. Découvrez la personnalité colorée qui fait vibrer le Centre Bell durant les matchs du Tricolore.

Des saltos, François Imbeau-Dulac en a fait plusieurs dans sa carrière de plongeur olympique. Son préféré, cependant, n'a rien à voir avec le plongeon. C'est son chien Salto, un bouvier des Flandres de 2 ans qui a déjà remporté de nombreuses médailles. Suivez-les, sa mère et lui, dans le monde fascinant des concours canins.

Une championne du monde de canoë destinée au podium olympique de Tokyo, l'été prochain. Puis, la bombe : un test positif à une substance interdite. Une vie chambardée d'un seul coup. La menace d'une longue suspension et d'un rêve brisé. Du polygraphe à l'analyse de cheveux en laboratoire, Podium a suivi pas à pas Laurence Vincent Lapointe dans sa quête pour blanchir son nom.

Après sa carrière dans la LNH, Joé Juneau aurait pu aller passer le reste de sa vie à jouer au golf ou à parcourir le monde. Il a plutôt choisi d'aller en régions éloignées pour aider les jeunes autochtones en leur enseignant le hockey. Pour comprendre ce qui le nourrit, Podium a accompagné l'ex-attaquant du Canadien de Montréal dans les communautés de Uashat mak Mani-utenam, sur la Côte-Nord.

Certains voient en eux un potentiel qui se compare à celui du duo Virtue-Moir... Marjorie Lajoie et Zachary Lagha, champions du monde juniors en danse sur glace l'an dernier, font déjà sensation dans la cour des grands. Incursion dans l'univers de ce couple qui unit deux opposés et qui devait vivre ses premiers mondiaux seniors à Montréal avant que la pandémie ne frappe.

Il y a un an, Bianca Andreescu s’apprêtait à disputer les Internationaux des États-Unis, tournoi auquel elle a remporté les grands honneurs. Dans le premier d’une série de trois documentaires, Podium revient sur ses débuts au tennis, jusqu’à sa première finale sur le circuit de la WTA, à Auckland, en janvier 2019. Dès l’adolescence, la jeune Canadienne présentait un style de jeu et des qualités atypiques qui lui ont permis d’atteindre les plus hauts sommets.

Dans le deuxième d’une série de trois reportages, Podium revient sur les premières grandes victoires de Bianca Andreescu à Indian Wells et à la Coupe Rogers de Toronto. Au-delà de l’extase et des émotions fortes de ces grandes victoires, la dernière année a aussi été marquée par les blessures. Rester en santé sera peut-être le grand défi de la carrière de l’Ontarienne.

Dans le dernier d’une série de trois reportages, Podium replonge dans la quinzaine qui a changé la vie d’Andreescu l’an dernier. Fraîchement auréolée de son titre à Toronto, la joueuse canadienne et son équipe partagent leur état d’esprit tout au long de ce parcours qui a marqué l’histoire du tennis au pays.

«J'ai passé une grande partie de mon enfance ici, un terrain de jeu pour un jeune qui aime tout ce qui a un moteur.» Le pilote Alex Labbé raconte à Podium son parcours peu commun, de la «cour à scrap» de son père à Victoriaville jusqu'à la cour des grands, celle de l'univers du NASCAR aux États-Unis.

De l'eau glacée. Des blocs de glace gros comme des automobiles. Rien de cela n'empêche les mordus de surf de se jeter dans le fleuve Saint-Laurent, en plein cœur de Montréal, même dans les mois les plus froids de l'année, à des températures sibériennes. Bienvenue dans le monde fou des surfeurs d'hiver.

«S'avouer qu'on a besoin de parler, je pense que c'est l'étape la plus dure à franchir. Mais parler, c'est une force.» Perte de poids, automutilation, la capitaine de l'équipe canadienne de basketball en fauteuil roulant aux Jeux paralympiques de Tokyo a sombré dans une dangereuse spirale après l'annonce du report des Jeux, le printemps dernier. Mais elle s'en est sortie en s'ouvrant sur sa détresse psychologique.

Un bâton du Rocket, le livre de jeu du légendaire entraîneur russe Viktor Tikhonov, des bouteilles du champagne de la conquête de la coupe Stanley des Bruins... La collection d'articles de sport de Tom Bureau remplit un appartement de cinq pièces quelque part dans Chaudière-Appalaches. Visite guidée chez un collectionneur pas comme les autres.

Un père violent, une sœur assassinée, un entraîneur aux méthodes douteuses... La volleyeuse Guylaine Dumont en a traversé, des épreuves, avant d'aboutir sur le sable d'Athènes, aux Jeux olympiques d'été de 2004, pour y décrocher la 5e place en duo avec Annie Martin. Elle raconte à Podium comment elle y est parvenue.

Atlanta, 1996. Il y a 25 ans, devant une foule stupéfaite de 85 000 spectateurs, quatre sprinteurs canadiens ont réalisé ce qui semblait être impossible : remporter l'or du relais 4 x 100 m aux Jeux olympiques devant les leaders mondiaux, les Américains, sur leur propre territoire.